3 novembre 2013 7 03 /11 /novembre /2013 17:44

 

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Photo archives pullover-blog 22/06/2012 Signature de la convention avec pôle emploi

Karim Khetib, directeur régional de Pôle Emploi (à gauche sur la photo) a valorisé le volet insertion de la démarche comme levier pour l’emploi. Une excellente façon selon lui de « participer au développement économique d’un territoire tout en redonnant de l’espoir aux demandeurs d’emploi. Car c’est bien pour ça qu’on est là ! »


Nord Eclair  3 novembre 2013

Aide à l’implantation de Call Expert à Roubaix: on attend le bilan

Juin 2012. De la communauté urbaine à la mairie de Roubaix, en passant par Pôle emploi, ils rivalisaient de félicitations après l’installation d’un centre d’appel dans le quartier de l’Alma. C’était une bonne nouvelle en effet. Quelques mois plus tard, alors que le site battait sérieusement de l’aile, on n’entendait déjà plus personne. Rien non plus cet été quand Call Expert fermait une filiale dans le Sud. Ça n’est pas qu’il faille surveiller chaque entreprise qui s’installe à Roubaix comme le lait sur le feu, juste que celle-ci a une particularité : elle a bénéficié d’une aide publique importante de la communauté urbaine de Lille en mars 2012. Un soutien financier de 600 000 € que la société n’a finalement touché qu’à hauteur de 30 % (180 000 €). Et pour cause, elle n’a jamais embauché les 200 CDI promis.

Alors on s’interroge. La communauté urbaine déroule le tapis rouge pour l’implantation d’une société. Bien, puisque ça favorise la création d’emplois. Elle signe ensuite une convention d’objectifs avec le patron de Call Expert. Bien, puisque c’est la procédure. Mais ensuite ? Quel contrôle ? Quelles garanties ? Quel suivi ? Lorsque nous avons tenté de connaître le nombre de salariés travaillant dans cette boîte un an après son installation, les collectivités semblaient l’ignorer. Pourtant en début d’année, les remontées en provenance de Call Expert n’étaient déjà pas bonnes. Et très vite, on oubliait le point d’étape régulier promis à la signature de la convention. Et là, alors que la société vient d’être placée en redressement judiciaire, les collectivités, si promptes à applaudir le courage de s’implanter là, se montrent toujours discrètes.

Interrogé il y a dix jours, le maire de Roubaix Pierre Dubois ne souhaitait pas trop réagir, renvoyant vers la communauté urbaine, compétente dans le domaine économique. Quant à Michel-François Delannoy, premier vice-président contacté en octobre au lendemain de la détention du PDG, il rappelait que l’aide de LMCU était liée à l’emploi, non à une personne. Il n’empêche que c’est bien le destin du fondateur qui assombrit sérieusement celui de 800 salariés, dont une centaine à Roubaix. On comprend cet embarras. Le sujet est sensible, la situation complexe. Il est plus facile d’applaudir. On attend quand même un bilan.


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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 23:02

 

 


 

 

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AFP  31 octobre 2013

Taux de chômage record en Italie

Le taux de chômage en Italie a atteint un nouveau record en septembre, concernant 12,5 % de la population active, soit une hausse de 0,1 point par rapport à août, selon une estimation provisoire publiée jeudi 31 octobre par l'Institut national des statistiques italien (Istat).

Sur une base annuelle, le taux de chômage de septembre est en hausse de 1,6 point, précise le communiqué. Selon des données corrigées des variations saisonnières, le nombre de personnes à la recherche d'un emploi s'est élevé à 3,194 millions en septembre dans le pays, soit 0,9 % de plus qu'en août (+ 29 000), et en hausse de 14 % sur un an (+ 391 000 personnes), indique Istat.

Chez les jeunes actifs de 15-24 ans, le taux de chômage a également atteint un nouveau record, s'élevant à 40,4 % en septembre (654 000 personnes concernées), soit 0,2 point de pourcentage de plus qu'en août et 4,4 points de plus qu'il y a un an. Plus d'un jeune sur dix (10,9 %) de cette tranche d'âge est ainsi en quête d'emploi, souligne Istat.

L'Italie vient d'enchaîner deux années de forte récession et le chômage y est en constante hausse depuis des mois. Le gouvernement espère un début de reprise économique à la fin de l'année.


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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 20:10

 

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L'Union  31 octobre 2013

Le cuisiniste de Fagnières secoue le cocotier «Pôle emploi»

FAGNIERES (51). Il voulait recruter quatre salariés et a eu bien du mal à arriver à ses fins. Bernard Whuithier livre un hallucinant parcours du combattant.

Il décolère enfin et souhaite que la société aide et prenne en considération les jeunes qui veulent travailler.

Après plus de 45 ans d’activités au compteur, Bernard Whuithier, figure connue dans le domaine commercial et de surcroît membre élu de la Chambre de commerce, souhaitait embaucher rapidement quatre jeunes dans le cadre de l’expansion de sa société Expo 2000, à Fagnières. Au regard de la conjoncture, il pensait que sa démarche allait être facilitée par le Pôle emploi. Et pourtant… « Je ne souhaitais pas des bac plus 25, des énarques, ou des élèves d’écoles de commerce car ils sont souvent nuls », explique ce self- made-man avec une gouaille bien à lui.

Après avoir repéré 17 candidats demandeurs d’emploi ; quatre, présentant un profil correspondant aux attentes du cuisiniste sortent du lot. « Je souhaitais comme le veulent les textes les évaluer en milieu de travail préalable au recrutement ». Pour être plus clair, les former aux spécialités maison et leur faire signer un CDI. Sauf que notre pays tourne sur lui-même comme si le plein-emploi était d’actualité. « Je suis venu au Pôle emploi en janvier avec les quatre dossiers, pour intégrer ces quatre jeunes gens dans mon entreprise », poursuit Bernard Whuithier, baba par ce qui lui fut répondu par une conseillère. « Vous n’avez pas le droit de choisir, et vous avez droit à une personne sur les quatre ». Hallucinant d’autant qu’un CDD était imposé à l’issue de la période de formation.


Un coup de gueule

et de vrais effets


« J’ai demandé qu’on sorte le patron du Pôle emploi de son bureau », témoigne M. Whuithier, connu dans le Landerneau pour monter dans les tours assez rapidement. Après avoir fait état de cet immobilisme à tous les chefs d’entreprise de son carnet d’adresses, et au secrétaire général de la préfecture, la situation s’est alors décantée. Car en début de mois, alors qu’il s’apprêtait à ouvrir un nouveau magasin sur la zone de Fagnières (lire par ailleurs), rebelote. Bernard Whuithier cherchait deux jeunes nouveaux collaborateurs, mais ce fut bingo en l’occurrence. « Je ne sais pas si c’est à cause de mon coup de gueule ou en raison des interventions que j’ai sollicitées, mais tous les verrous ont sauté. Au Pôle emploi, le directeur a bien compris, tout comme le conseiller de premier ordre qui fut un vrai professionnel. Mais ailleurs ? Applique-t-on des textes qui ne sont pas en phase avec nos attentes ? » Deux candidats ont été sélectionnés par la structure, des CCD seront signés à l’issue de la période de formations, et aboutiront normalement à des CDI. Enfin…


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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 20:34

 

X-copie-1Pour changer un peu de profil: une photographie

Qui est cette jeune fille ?

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bravo Damien, il s'agit bien de Sophie Scholl

 

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 20:25

 

herisson1.jpgAudience du blog en octobre:

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Merci à vous toutes à tous

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 19:11

 

Roger-Karoutchi.jpg

Roger Karoutchi en pleine réflexion sur le manque de qualification des agents de pôle emploi

 

Aurore Boréale au Sénat  31 octobre 2013

La commission des finances du Sénat a présenté aujourd'hui un rapport sur l'ATA (allocation temporaire d'attente). La gestion de Pôle emploi y est critiquée, et une des propositions est de confier à court terme cette gestion à l'OFFI (office français de l'intégration et de l'immigration)

Résumé sur le site du Sénat

Les propositions d’amélioration du rapport Karoutchi

L’allocation temporaire d’attente (ATA) est une aide financière, d’un montant mensuel de 336 euros, versée aux demandeurs d’asile à qui aucune place en centre d’accueil des demandeurs d’asile (CADA) n’a pu être proposée, pendant toute la durée d’instruction de leur demande.

Le coût global de l’ATA a connu une augmentation exponentielle ces dernières années : il est passé de 47,5 millions d’euros en 2008 à 149,8 millions d’euros en 2012. Cela est dû à l’augmentation du nombre de demandeurs d’asile, à l’allongement des délais d’instruction des demandes auprès de l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (OFPRA) et de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), et au nombre limité de places en CADA.

Les dotations prévues en loi de finances ont toujours été insuffisantes pour couvrir ces dépenses. Mais au-delà de cette sous-estimation, le rapport fait état de dysfonctionnements internes, liés notamment à ses modalités de gestion.

Face à ces difficultés, le rapport de Roger Karoutchi formule plusieurs propositions d’amélioration : 

  1. Accentuer l’effort de réduction des délais d’instruction auprès de l’OFPRA et de la CNDA ;
  2. Mettre en place un système d’informations partagé entre l’OFPRA, la CNDA, l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) et Pôle emploi pour assurer un suivi permanent de la situation des bénéficiaires ;
  3. Établir un nouveau mode de calcul des frais de gestion ;
  4. À court terme, confier la gestion de l’ATA à l’OFII ;
  5. À moyen terme, fusionner l’OFII et l’OFPRA au sein d’un grand opérateur de l’asile et de l’immigration ;
  6. Réformer le barème de l’ATA en prenant en compte la situation familiale des bénéficiaires ;
  7. Exclure l’ATA en cas de réexamen d’une demande d’asile ; 
  8. Exclure le versement de l’ATA pour les demande d’asile déposées au –delà d’un certain délai ;
  9. Simplifier la procédure de demande d’asile ;
  10. Poursuivre l’effort de création de places en CADA ;
  11. Assurer une répartition régionale systématique des demandeurs d’asile.

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AFP  31 octobre 2013

Asile: un rapport recommande de retirer à Pôle emploi l'allocation d'attente


L'allocation temporaire d'attente (Ata), versée aux demandeurs d'asile qui ne peuvent pas être hébergés dans un centre d'accueil, ne doit plus être gérée par Pôle emploi en raison de dysfonctionnements, recommande un rapport publié mercredi par la commission des Finances du Sénat alors que la demande de protection a "explosé", a admis le ministère de l'Intérieur.

L'Ata, qui s'élève à 336 euros mensuels, est versée aux demandeurs d'asile qui n'ont pas pu bénéficier d'une des 21.410 places en Centre d'accueil pour les demandeurs d'asile (Cada) dans l'attente des suites données à leur dossier.

En 2012, 36.450 personnes ont bénéficié de cette allocation, sur plus de 60.000 demandeurs d'asile. Au total, 150 millions d'euros ont été distribués, montant en forte progression ces dernières années en raison de la hausse des demandes d'asile et de l'allongement de la durée d'instruction des dossiers.

Fin 2013, le nombre de demandeurs d'asile va atteindre les 70.000, "un chiffre qui se situe au-delà de toutes les projections imaginées", s'est alarmé mercredi le député UMP Eric Ciotti, rapporteur du budget de l?asile à l?Assemblée, cité par Le Figaro.

"Ce chiffre est envisageable et la situation est extrêmement difficile", a admis le Cabinet de Manuel Valls auprès de l'AFP en soulignant cependant que "le problème ne date pas de 2012 et de l'arrivée de la gauche au pouvoir mais de 2007".

"Nous sommes face à un problème structurel qui n' a pas été tranché par la majorité précédente", ajoute Beauvau en rappelant que le Manuel Valls a lancé une concertation sur le sujet qui doit s'achever fin novembre. "La vision du ministre est qu'il faut construire sur ce sujet un consensus national ou au moins aussi large que possible", insiste-t-on.

Selon le rapport présenté par Roger Karoutchi (UMP), rapporteur de la mission "Immigration, asile et intégration", les versements indus de l'Ata par Pôle emploi, à qui la gestion de l'aide a été confiée, représentent environ 20% du total, soit 30 millions d'euros.

"Il y a beaucoup d'indus bénéficiaires", a admis le ministère.

Le rapport de M. Karoutchi critique "le manque de qualification des agents de Pôle emploi" sur ces questions et l'absence de liens entre la structure et les autres organismes publics en charge des demandes d'asile.


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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 18:17

 

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AFP  30 octobre 2013

Agression d'un agent de Pôle emploi : le chômeur condamné à de la prison avec sursis

Un homme inscrit à Pôle Emploi s'en était violemment pris à une conseillère d'une agence de Bayeux, en début de semaine. Le chômeur a été condamné à six mois de prison avec sursis ainsi qu'à une obligation de soins.

Un ancien employé de banque inscrit dans un bureau Pôle Emploi de Bayeux avait balancé une chaise vers la directrice de l'agence, lundi matin. L'homme de 56 ans a reconnu les faits lors de son audience, ce mercredi 30 octobre, mais assure ne pas l'avoir "frappée avec son avant bras", comme l'assure la victime.

La directrice d'agence est ressortie mardi de l'hôpital avec 10 jours d'interdiction temporaire de travail.

L'expertise psychiatrique a établi que le chômeur était dépressif. "Je suis tellement désolé. Je suis en dépression omniprésente depuis le suicide de ma compagne (en 2012). J'aurais dû prendre les devants avec des traitements", a déclaré le prévenu. L'homme explique que sa colère est montée car la directrice s'était adressée à lui sur un "ton méprisant"

Le chômeur a pourtant été convoqué par la directrice car il "inquiét(ait)" les autres agents qui l'avaient déjà reçu, a plaidé l'avocate de la victime et de Pôle emploi. "On est face à un individu qui n'a pas supporté qu'on exige de lui qu'il remplisse ses obligations", puisqu'il a notamment dit aux policiers que la directrice devait avoir "l'habitude d'avoir affaire à des gens qui courbent l'échine", a ajouté Me Marie-France Mouchenotte.


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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 23:55

 

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Photo archives pullover-blog: Borne extérieue pôle emploi La Teste

cbanque.com  29 octobre 2013

Pôle Emploi autorisé à consulter le fichier des comptes bancaires (Ficoba)

Un arrêté du 17 octobre dernier, publié ce matin au Journal officiel, ajoute Pôle Emploi à la liste des organismes autorisés à interroger les informations contenues dans le Fichier national des comptes bancaires et assimilés (Ficoba), qui recense l’ensemble des comptes bancaires ouverts en France, et leurs titulaires.

Le Ficoba a pour objet de fournir à certaines personnes et organismes habilités, dans le cadre de l’exercice de leurs missions, des informations sur les comptes bancaires ouverts en France. Il recense ainsi, selon la Cnil, plus de 80 millions de particuliers, français ou non, qui détiennent au moins un compte (courant, d’épargne, etc.) en France. De même source, la Direction générale des finances publiques (DGFiP), qui détient et gère le fichier, traite chaque année environ 100 millions de déclarations de comptes. Les droits d’accès à ce fichier particulièrement sensible (1) sont évidemment strictement encadrés. Son fonctionnement est notamment régi par l’arrêté du 14 juin 1982 « relatif à l’extension d’un système automatisé de gestion du fichier des comptes bancaires ».

Qui peut consulter le fichier ? En premier lieu, évidemment, les agents du fisc, des douanes, de la répression des fraudes et de Tracfin, afin de lutter contre la fraude fiscale et le blanchiment. C’est aussi le cas de la police judiciaire, dans le cadre de la lutte contre le travail clandestin. La Banque de France y a également accès, pour gérer les interdictions de chéquier, et leurs levées. Les établissements de crédit, plus généralement, peuvent depuis peu l’interroger, dans le cadre de la lutte contre la double détention de produits d’épargne réglementée, comme le Livret A. Enfin certains organismes, comme la Caisse d’allocations familiales (CAF) ou les différentes caisses de retraites, qui ont en commun de verser des prestations au public, sont aussi habilités.

A cette longue liste s’ajoute désormais un nouvel organisme : Pôle Emploi. Un arrêté du 17 octobre 2013, publié ce matin, lui ouvre en effet le droit de consulter Ficoba, afin d’obtenir les informations nécessaires à l’exercice de sa mission, et dans la mesure où il le juge nécessaire. Pour mémoire, l'article L152 du Livre des procédures fiscales autorise notamment Pôle Emploi à exercer ce droit pour apprécier les conditions d'ouverture et de maintien de droits pour un demandeur d’emploi, pour calculer les indemnités auxquelles il peut prétendre ou encore pour obtenir le recouvrement de prestations indûment versées.

(1) Il recense, pour chaque compte déclaré, le nom et l’adresse de l’établissement qui le détient, le numéro et la nature du compte, la date d’ouverture et/ou de fermeture et le nom, la date et le lieu de naissance, l’adresse des titulaires.


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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 23:36

 

 

Franctvinfo  29 octobre 2013

  VIDEO. La directrice d'une agence Pôle emploi agressée à Bayeux

Un chômeur a été pris d'un accès de colère, lundi matin, alors qu'il se trouvait dans le bureau de la directrice afin de faire le point sur sa situation.

 

L'entretien a tourné à l'agression. Un chômeur qui avait rendez-vous avec la directrice de l'agence Pôle emploi de Bayeux (Calvados), lundi 28 octobre, a été pris d'un accès de violence alors qu'il faisait le point sur sa situation. "Le bureau a été retourné, raconte Michel Swieton, directeur de Pôle emploi en Basse-Normandie. Tous les éléments qui étaient sur le bureau ont été projetés à terre et la directrice d'agence a subi un coup de poing violent au niveau de la nuque."

Agé d'une cinquantaine d'années, l'agresseur a pu quitter l'agence avant d'être interpellé et placé en garde à vue en milieu de journée par les gendarmes. La directrice de l'agence, elle, était toujours hospitalisée mardi. "La crise est une réalité, mais ces événements restent exceptionnels", estime Michel Swieton.


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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 20:54

 

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Tapisserie de Bayeu (détail)

 

Ouest France  28 octobre 2013

Bayeux. La directrice de Pôle emploi victime d’une agression violente

Ce lundi, Estelle Charles, la directrice de Pôle emploi à Bayeux, a été victime d’une agression violente. Dans la matinée, un homme, vraisemblablement « en contentieux » avec l’agence de la capitale du Bessin, a pénétré dans les locaux pour être reçu en entretien. Il a mis le bureau d’Estelle Charles sans dessus dessous, avant de s’en prendre physiquement à la directrice. Blessée, elle a été hospitalisée. Ses jours ne sont pas en danger.

L’agresseur interpellé

Après être parvenu à quitter les lieux, l’agresseur, un habitant du Bessin, a finalement été interpellé par la gendarmerie dans l’après-midi. Il a été placé en garde à vue. Une enquête a été ouverte.


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Aurore-Boreale@Orange.fr

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Doc en ligne

 

convention tripartite

La convention tripartite Etat-UNEDIC-Pôle emploi

 

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Rapport sur la sous-traitance    

 

 

 

 

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Le rapport Iborra sur le SPE (texte intégral)

 

PE-copie-2

 LE BUDGET 2013 DE POLE EMPLOI

 

 

 

 

 

  UNEDIC.jpg

Utile et pratique 

 

CHARPY.jpg

 

    texte intégral (gratuit)

 

 

Ce livre est dédié aux agents de Pôle emploi et à ceux qu’ils accompagnent chaque jour.

  (Christian Charpy)

 

 

CCN.jpg

La Convention Collective Nationale

 

 

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Histoire de l'Assurance Chômage (VIDEO INA)


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