30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 21:28

 

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Interview non bidonné de JB par les lecteurs de metronews: "Sympathique, concret, connait bien ses dossiers, humain, franc, accessible, impliqué, va dans le bons sens, prend le contre-pied des erreurs passées"

 

Metronews  30 mai 2013

Jean Bassères : "Nous devons démontrer l’efficacité de Pôle emploi"

INTERVIEW - Il y avait fin avril 3 264 400 chômeurs (+39 800 par rapport au mois de mars), selon les chiffres du ministère du Travail publiés ce jeudi. Face à cette situation, Jean Bassères, Directeur général de Pôle emploi, a répondu aux lecteurs de metronews.

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 16:04

 

St-Chamond-4-fevrier-2010-fermeture-SIEMENS.jpg

Photo archives pullover-blog: St Chamond 4/02/ 2010 (fermeture de l'usine SIEMENS)

 

DARES  30 mai 2013

 

Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 264 400 en France métropolitaine fin avril 2013. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin mars 2013 (+1,2 %, soit +39 800). Sur un an, il croît de 12,5 %.

 

Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories B et C s’établit à 1 534 800 en France métropolitaine fin avril 2013. En avril, le nombre de ceux de catégorie B est en baisse de 1,6 % (+9,9 % sur un an) et le nombre de ceux de catégorie C augmente de 3,3 % (+5,7 % sur un an).

 

Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s’établit à 4 799 200 en France métropolitaine fin avril 2013 (5 095 700 en France y compris Dom). Ce nombre est en hausse de 1,2 % (+58 100) au mois d’avril. Sur un an, il augmente de 10,8 %.

 

Le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi en catégories D et E s’établit à 614 400 en France métropolitaine fin avril 2013. En avril, le nombre d’inscrits en catégorie D est en hausse de 2,7 % et le nombre d’inscrits en catégorie E est stable.

 

 

Les chiffres complets:DARES avril 2013

 

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Pontault Combault

 

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Morlaix


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Pontivy

 

Sarcelles

Sarcelles


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 VIDEO



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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 08:23

 

primeLe débat sur la prime agite les esprits:

Où en somme- nous ?

 

- La DG propose une prime à la signature des organisations syndicales, pour solde de tout compte, dans le cadre de la NAO (négociation annuelle obligatoire).

- Deux organisations syndicales (CFDT et CGC) signent le protocole d'accord, mais à elles-deux ne totalisent pas 30% des suffrages du personnel.

- La DG propose un "PV de désaccord" (voir le texte)

- FO, CGT et SNU refusent de signer la NAO en l'état, et font un recours auprès du Ministère, estimant que la Direction de Pôle emploi est en mesure de verser la prime unilatéralement, sans que cela oblige les syndicats à abandonner la revendication d'une augmentation générale des salaires. Voir le texte

Affaire à suivre …

 

Les articles précédents:

13 mai A Pôle emploi, la prime ne passe pas.

15 mai Pôle emploi: un chantage et une prime qui divise

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 15:30

 

PÔLEMPLOI - copie

Pôle emploi: vers un nouveau métier de contôleur

Pôle emploi: vers un métier de contrôleurs

 

 

Le Canard Enchaîné  29 mai 2013

Pôle emploi ou police emploi ?

ENFIN, Pôle em­ploi s'attaque aux vrais problèmes! Le 3 juin, co­m­mence une « expérience » qui consiste à transfo­r­mer des conseillers en « contrôleurs des demandeurs d'em­ploi ». Un nouveau corps de métier, pour constituer de drôles de « brigade­s » de flics qui ne disent pas leur nom. En plein marasme, avec, au bas mot, 3 mil­lions de chômeurs, il n'y a rien de plus pressé ?

Annoncée, l'an dernier, avec le plan Pôle em­ploi 2015, l'initiative a jusqu'à maintenant fait très peu de bruit, à part quelques pro­te­stations sur des blogs as­sociatifs, telle « Aurore boréale », ap­pare­m­ment mieux informée que les syn­dicats, qui n'en soufflent mot.

A Pôle em­ploi, on ex­plique qu'il est indispensable de vérifier au plus près l'utilisation des deniers pu­blics et de lu­tter con­tre le « trou­ble social » causé par ceux qui bossent au noir en touchant des in­demnités. Ce qui, en temps de crise, « est de moins en moins tolérable, surtout pour ceux qui, déclarés, sont payés à peine plus, voire moins, que les triche­urs ».

L'idée n'est pas tombée du ciel. Avant la révision générale des politiques pu­bliques mise en place par l'ancien go­uve­rne­ment, ces contrôles étaient assurés par les inspecte­urs du ministère du Travail, sur demande de Pôle em­ploi, en cas de soupçon de fraude.

Victime du non-renouve­lle­ment des fonctionnaires, l'Inspection du travail, débordée, n'a plus les moyens d'as­surer cette tâche, et le bébé a été refilé à Pôle em­ploi. L'expérimentation co­m­mence donc ces jours-ci, avec des « vo­lontaire­s » dans cinq Régions et sur douze sites. Elle sera généralisée dans un an, en cas de succès.

Il n'est pas sûr que les candidats se bousculent. En sous-effectif, les conseillers de Pôle em­ploi sont souvent menacés et assistent, im­puissants, au dése­spoir de leurs « clients ». Et ce n'est pas le document inte­rne précisant les contours de ce nouveau métier qui pousse à l'en­thousias­me : « Constat de l'existence ou pas d'actes positifs et répétés de reche­rche d'em­ploi ; vérification de la récurrence et de la constance des actes ; appréciation de la réalité et du sérieux des actes. »

Prof d'écono­mie et spécialiste de Pôle em­ploi, Michel Abhervé se gratte le crâne : « Les conseillers ne sont pas des policiers. Ils ne sont pas formés pour aller contrôler des pe­r­sonnes à leur do­micile. »

Les gilets pare-balles sont fournis?

par ­Do­minique Simonnot


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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 20:04

 

Le chomage flambe

 

Le Parisien  28 mai 2013

Il menace de s’immoler devant Pôle emploi à Arcueil

Un homme âgé de 33 ans a menacé de s’immoler par le feu ce mardi dans la matinée devant l’agence de Pôle emploi à Arcueil (Val-de-Marne). Vers 10h20, les policiers sont appelés pour intervenir auprès d’un homme équipé d’un bidon rempli d’un liquide indéterminé et tenant dans sa main une cigarette allumée. Le trentenaire, qui habite la ville voisine de Gentilly, a déjà fait un scandale dans l’agence de Pôle emploi pour une raison qui demeure inconnue et menace désormais de se mettre le feu.

D’après certains éléments recueillis, il devait suivre une formation dans quinze jours. Celle-ci lui a-t-elle finalement été refusée ? Attendait-il une réponse pour cette formation ? Lui a-t-on supprimé ses allocations ? Ou bien s’agissait-il d’autres motifs ? Impossible de savoir pour l’heure ce qui a déclenché ses funestes intentions. Toujours est-il que les policiers ont eu bien du mal à le maîtriser. Ils ont d’abord tenté de le raisonner et de lui faire lâcher son flacon, sans succès. Ils ont finalement réussi à l’interpeller dans des conditions difficiles. L’homme a en effet menacé de mort l’un des policiers et en a physiquement blessé deux autres. L’homme, qui serait un père de deux enfants a finalement été interpellé avant d’être placé en garde à vue.

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 22:01

 

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SUD OUEST  27 mai 2013

Pôle Emploi claque la porte de la Maison

Pôle Emploi partira pour s’installer toujours aux Fourriers, mais cent mètres plus loin. La Maison en perdra de sa substance. Les élus de l’Agglo enragent.

Rien ne va plus entre la Maison de l’emploi et Pôle Emploi. Ce dernier veut quitter les lieux pour aller s’installer dès l’an prochain, cent mètres plus loin toujours dans le quartier des Fourriers (1). Pourtant le principe de la structure est de réunir sous un même toit, l’ensemble des services concernant l’emploi, l’insertion et la formation. Allez comprendre !

À la Communauté d’agglomération du Pays rochefortais (CAPR), propriétaire des locaux qui a réalisé les travaux pour une ouverture qui remonte à cinq ans, on ne décolère pas. « Ce départ annoncé est déplorable, irresponsable et léger », dénonce le président Bernard Grasset. « Pôle Emploi, c’est la locomotive de la Maison de l’emploi qui, du coup, va perdre de son sens ! L’idée de rassembler tous les acteurs de l’emploi est cassée… »

Le vice-président de la Maison de l’emploi, André Meynard, n’est pas plus tendre. « C’est inadmissible ! Si le départ se fait, il aura un impact négatif auprès de la population qui ne comprendrait pas que les salariés de Pôle Emploi fassent passer leur confort avant leur mission de service public ! » C’est dit.

Pourtant, Pôle Emploi n’a pas pris sa décision à la légère puisque cette affaire dure depuis plus de trois ans. « Je ne suis pas satisfait de quitter la Maison de l’emploi, l’idéal aurait été que l’on y reste », déclare d’emblée, le directeur régional de Pôle Emploi, Dominique Morin, qui savait que le cas de Rochefort ne serait pas simple.

Si Pôle Emploi est revenu sur ses locaux, ce n’est pas par caprice, mais pour les besoins de cette nouvelle entité, qui depuis 2009, réunit l’ANPE et les Assedic. Or pour l’heure à Rochefort, les deux services ont beau travailler ensemble, ils ne logent pas sous le même toit. En effet, l’ex-Assedic est à 200 mètres de la Maison de l’emploi, vers l’ancien haras.


Pas d’accord sur les prix

« Le nouveau principe de Pôle Emploi depuis 2009, c’est d’héberger tous nos personnels dans un même lieu, ce qui rend aussi notre service plus lisible pour les allocataires. Voilà pourquoi depuis trois ans, nous travaillions à ne pas quitter la maison de l’emploi et plutôt à y faire venir l’ex-Assedic. Mais nous ne nous sommes pas entendus sur le coût des travaux d’aménagement. La CAPR nous proposait des prix trop élevés », poursuit Dominique Morin.

Pourtant, dans la lettre qu’il a écrite au Ministre du travail, Michel Sapin, Bernard Grasset expliquait que la CAPR avait proposé un loyer s’élevant à 22,71 € du m2 par mois, alors que Pôle Emploi exige de baisser les prix à 18,33 €. « Nous comprenons d’autant moins que l’investissement que nous étions prêts à faire, est moins cher que la moins chère des opérations d’aménagements de Pôle Emploi… »

Mais Pôle Emploi, las de trois ans de négociations, semble déterminé à quitter les lieux. « La direction nationale fait la même analyse que moi. Si nous restions dans la Maison de l’emploi, nous paierions plus cher pour des locaux moins adaptés, que si nous partions. Alors on part ! » Et ce n’est pas l’appui de la préfète pour « favoriser le maintien de l’unité de la Maison de l’emploi », comme elle l’a écrit à Bernard Grasset, qui changera quoi que ce soit.


Dans le même quartier

Dominique Morin se veut rassurant : « Ce n’est pas la catastrophe quand même ! Nous restons aux Fourriers, à 100 mètres de la Maison de l’emploi. Et nous ne nous désengageons en rien. Nous resterons au conseil d’administration de la Maison de l’Emploi et nous poursuivrons notre travail de partenariat avec tous les acteurs. »

Certes. Mais Bernard Grasset juge que dans un territoire fragilisé, comme l’est le Pays rochefortais où le taux de chômage à 12 % est supérieur à celui du département ou de la région, ce n’est pas la meilleure idée du monde.

(1) Il s’agit d’un bâtiment datant des années 60, situé à côté de l’ancien théâtre des Fourriers. Pôle Emploi y disposera de 1 000 mètres carrés de plain-pied, contre 600 mètres carrés aujourd’hui.

Depuis hier et jusqu’au 31 mai, la Maison de l’emploi accueille une exposition sur les fonds européens, proposée par le Plie (Plan local pour l’insertion et l’emploi).


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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 19:39

 

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Liaisons Sociales Quotidien  28 mai 2013

L'Unedic propose de simplifier les règles d'indemnisation du chômage

Un rapport interne, présenté au bureau de l’Unedic le 23 mai, identifie plusieurs difficultés d’application de la convention d’assurance chômage. Il propose dès lors des pistes d’évolution des règles d’indemnisation, et notamment une réduction forfaitaire de l’indemnisation en cas d’activité réduite.

Afin de s’assurer que la réglementation de l’assurance chômage demeure accessible et lisible pour les demandeurs d’emploi et pour Pôle emploi, un rapport sur les conditions d’application de la convention doit désormais être présenté chaque semestre au bureau de l’Unedic. Le premier l’a été le 23 mai. Ce rapport fait la synthèse des informations réunies lors d’études menées auprès des demandeurs d’emploi avec Pôle emploi, son médiateur et le Défenseur des droits. Il formule plusieurs propositions sur les évolutions souhaitables des règles d’indemnisation.

Le caractère dissuasif des règles relatives à l’activité réduite

Le dispositif permettant de cumuler l’indemnisation du chômage avec les revenus tirés d’une activité réduite prévoit que l’activité exercée ne peut pas dépasser 110 heures et être rémunérée plus de 70 % de la rémunération antérieure pendant 15 mois. La complexité de ce dispositif a pu conduire certains demandeurs d’emploi à refuser un emploi de courte durée et les inciter à cesser une activité avant le 15e mois. Si les personnes qui recourent régulièrement à l’activité réduite ne rencontrent pas de difficulté particulière dans sa mise en œuvre, il en va autrement pour les autres demandeurs d’emploi. Ces derniers n’ont en effet pas conscience du fait que leur indemnisation ne sera réduite que d’un nombre de jour dans le mois calculé en fonction des revenus tirés de cette activité et qu’ils ont là l’occasion d’augmenter leur revenu global. Les difficultés sont particulièrement avérées s’agissant d’activités réduites conservées au moment de l’ouverture de leurs droits à indemnisation. Pôle emploi relève en outre les problèmes liés à la complexité des situations professionnelles, en particulier lorsque la personne reprend une activité non salariée.

Face à ces difficultés, le rapport propose de limiter ou de supprimer les effets de seuils inhérents au dispositif. En ce sens, en cas d’activité réduite, une déduction effectuée mensuellement sur le montant des allocations versée pourrait être mise en œuvre à la place du calcul d’un nombre de jours non indemnisables. Une fraction de la rémunération de l’activité réduite serait déduite des allocations. Le rapport propose un coefficient réducteur de 63 %. En outre, un plafond mensuel de cumul entre allocation et revenu serait fixé. Il permettrait une suppression des seuils existants.

Par ailleurs, l’actuel dispositif d’aide différentielle au reclassement permet le versement d’une aide aux demandeurs d’emploi qui reprennent une activité dont la rémunération est inférieure d’au moins 15 % à celle de son emploi précédent. Cette mesure complexe pourrait être intégrée au dispositif d’activité réduite.

Des incompréhensions en matière d’ouverture des droits

Les bénéficiaires de l’assurance chômage font globalement confiance à Pôle emploi pour définir le montant de leurs allocations, mais souhaitent avoir accès aux informations relatives à leur situation individuelle afin d’en avoir une meilleure compréhension. La première source d’insatisfaction des demandeurs d’emploi vient des délais de notification des droits, de traitement des courriers et de paiement des allocations. Il est relevé que les différés d’indemnisation, qui reportent le point de départ du versement des allocations, suscitent une forte incompréhension de la part des demandeurs d’emploi.

Une autre complexité vient de la qualification des différentes composantes de la rémunération. Du fait de la multiplicité de leur nature, l’intégration des primes dans le salaire de référence servant à calculer l’allocation est perçue comme confuse par les demandeurs d’emploi et constitue une source de difficultés pour Pôle emploi. Il serait nécessaire de clarifier le contenu de la déclaration effectuée par l’employeur concernant les primes et d’actualiser les règles relatives aux primes.

Par ailleurs, le rapport propose un examen formel de l’ensemble des textes, afin d’améliorer la lisibilité et la cohérence de la réglementation, et dès lors de rendre celle-ci plus accessible. Il s’agirait notamment d’alléger les rédactions et les références législatives ou réglementaires non indispensables et de supprimer les dispositions obsolètes. Un autre correctif serait de rationaliser le nombre d’annexes au règlement général annexé à la convention d’assurance chômage. Certaines n’ont plus vocation à s’appliquer, en particulier du fait de la disparition de la catégorie professionnelle concernée (ouvriers dockers, par exemple), et d’autres contiennent des dispositions inusitées ou qui pourraient être intégrées dans la convention.

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26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 21:40

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En cas de perte d'emploi, la marque automobile promet accompagnement et indemnisation

 

PUB gratuite:

 

"Réputée pour offrir des garanties solides qui concourent à son succès, Hyundai franchit un nouveau pas dans son positionnement de marque innovante et soucieuse de ses clients en élargissant ses prestations de services. A compter du 1er Mai, la marque lance son Pacte Hyundai comprenant, une assurance en cas de perte d’emploi involontaire créée par Services Assurance Monétique (courtier d’assurance - ORIAS n°10 058 127).

Cette offre répond à une des préoccupations majeures des consommateurs, dans un contexte économique morose où la confiance des ménages ne cesse de se dégrader.

Avec cette nouvelle assurance perte d’emploi qui vient compléter le Pacte Hyundai déjà riche de la garantie exclusive Hyunday Triple 5 (cinq ans de garantie kilométrage illimité, cinq ans d’assistance gratuite et 5 ans de contrôles intermédiaires gratuits), du VIP service (i40/Santa Fe) et du programme Map Care (Santa Fe/Veloster Turbo), Hyundai rassure et accompagne ses clients dans les moments difficiles à travers ce nouvel avantage entièrement de série et donc gratuit pour le consommateur.

Cette garantie concerne le client particulier acquéreur d’un véhicule neuf depuis le 24 avril 2013. En cas de perte d’emploi involontaire, elle prévoit une contribution financière fixe de 300 € TTC/mois si le véhicule a été acheté au comptant ou du montant de l’échéance mensuelle dans le cas d’un achat à crédit (dans la limite de 300 € TTC/mois). Cette indemnisation s’applique jusqu’à 12 mois maximum et couvre le client dans l’année qui suit la livraison du véhicule (avec un délai de carence de 30 jours). La prise en charge intervient dans un délai très court, dès le 31ème jour de chômage. (*)


Mais Hyundai va encore plus loin en se positionnant comme un acteur responsable socialement, soucieux de venir en aide à ses clients en difficulté en complétant le dispositif d’une assistance au retour à l’emploi. Sur une période de 3 mois, le client peut bénéficier de 5 entretiens téléphoniques d’une heure avec un consultant spécialisé dans le coaching de personnes à la recherche d’un emploi, l’accompagnement individuel ou le bilan de compétences. Dans tous les cas, il s’agira d’une assistance individualisée qui s’adaptera aux besoins du demandeur.

Par ces temps de crise, Hyundai se montre à l’écoute de ses clients et en fait une nouvelle fois la démonstration en leur apportant un peu de sérénité à travers cette nouvelle prestation, susceptible de les accompagner dans leur vie quotidienne."


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26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 05:00

 

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Jean-Claude Juncker et Pierre Moscovici

 

AFP  25 mai 2013

Europe: Moscovici plaide pour une union politique d'ici deux ans

  Le ministre de l'Économie Pierre Moscovici a plaidé samedi à Paris pour qu'"un contenu" soit donné à l'Union politique européenne "dans un délai de deux ans", citant notamment un gouvernement économique et une capacité budgétaire propres à la zone euro. "Je crois nécessaire de revoir le fonctionnement de nos institutions communautaires, en recentrant son coeur sur la zone euro", a déclaré Pierre Moscovici, lors d'un colloque organisé par la fondation européenne d'études progressistes et la fondation Jean-Jaurès.

Rappelant que Berlin avait exprimé plusieurs fois son souhait d'aller vers une Union politique, il a affirmé vouloir le "prendre au mot" pour "donner un contenu à cette Union politique et (se) fixer un délai de deux ans pour y parvenir". Il a défendu l'idée d'un comité de membres de la zone euro formés au sein du Parlement européen pour jouer un véritable rôle de colégislateur dans la définition de la politique économique en zone euro aux côtés de l'Eurogroupe".

Harmonisation fiscale

Le ministre a également jugé qu'il fallait "à moyen terme un exécutif plus structuré pour l'initiative et la mise en oeuvre propres à la zone euro". Il a répété la proposition de François Hollande le 16 mai de créer un "gouvernement économique" qui se réunirait tous les mois et serait doté d'"un véritable président".

Outre les décisions de politique économique, ce gouvernement serait chargé de l'harmonisation de la fiscalité et d'un début de convergence sociale. Le ministre français de l'Économie et des Finances a plaidé pour la formation à ce titre d'un "Eurogroupe social".

Parallèlement, il a défendu la création d'"une capacité budgétaire propre à la zone euro, distincte du budget des 27, financée sur des ressources autonomes, avec une capacité d'endettement". Ce budget permettrait selon lui de "stabiliser les économies de la zone euro en cas de crise". "Ce budget aurait une véritable fonction contra-cyclique, via par exemple le financement partiel, dans un premier temps, d'un socle commun d'assurance-chômage", a-t-il expliqué, appelant les "progressistes européens" à porter aux élections européennes de 2014 un projet de "création d'une assurance-chômage européenne".

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 22:01

 

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Le Figaro (Marc Landré)  24 mai 2013

Indemnisation chômage: la difficile réforme

Les partenaires sociaux sont divisés sur les solutions à apporter pour un retour à l'équilibre financier. Le déficit de l'Unedic atteindra 5,6 milliards fin 2014, un record sur un an.

Avec ces nouvelles prévisions on ne peut plus sombres pour 2013 et 2014, la renégociation de la convention d'assurance-chômage qui se tiendra à la fin de l'année s'annonce complexe. L'enjeu est de taille: il ne s'agira pas de colmater un trou conjoncturel - le déficit de l'Unedic atteindra 5,6 milliards fin 2014, un record sur un an -, mais de juguler une hémorragie sans fin, avec un déficit cumulé de plus de 24 milliards à cette date. Soit l'équivalent du budget annuel du ministère de la Recherche!

Et pour cause: les partenaires sociaux, qui négocient tous les trois ans les conditions d'indemnisation des chômeurs, ne sont pas d'accord sur les remèdes à apporter. Les syndicats ne veulent pas révolutionner les règles en vigueur, et notamment le principe du «un jour cotisé, un jour indemnisé» établi en 2009 ou l'ouverture dès 4 mois de cotisation du droit à être indemnisé. Tous, sans exception, considèrent que le retour de la croissance suffira à ramener à terme les comptes dans le vert. «Les finances de l'Unedic sont très réactives au moindre retournement de conjoncture», confirme un responsable du régime. Or une inversion de tendance n'est pas à ­attendre avant 2017 au mieux…

Le gouvernement - qui transpose dans la loi l'accord auquel parviennent les partenaires sociaux - n'entend pas cautionner une réforme drastique de l'indemnisation, alors que le nombre de chômeurs explose (+ 300 000 en un an). Trop dangereux politiquement, surtout pour un exécutif socialiste déjà critiqué par son aile gauche.

À l'issue, mardi soir, de la réunion de préparation avec les partenaires sociaux de la conférence sociale de fin juin,Jean-Marc Ayrault a d'ail­leurs affirmé que l'un des enjeux de la négociation serait de «savoir répondre collectivement à des situations telles que les fins de droit». Soit ces 750.000 chômeurs qui se retrouvent chaque année privés d'indemnisation et qui basculent dans les minima sociaux. Bref, le contraire d'une réforme drastique qui vise à rééquilibrer des comptes durablement dans le rouge.

Un système trop généreux

Le patronat n'est pas du tout sur la même longueur d'onde. Jugeant le système trop généreux (jusqu'à 6200 euros de revenu mensuel et 36 mois d'allocation), les employeurs veulent au contraire revisiter en profondeur les conditions d'indemnisation, notamment en rétablissant une dégressivité des allocations pour inciter les chômeurs à reprendre plus rapidement un emploi. Tous les candidats à la présidence du Medef - qui copréside, en alternance avec la CFDT, l'Unedic - plaident en ce sens. Geoffroy Roux de Bézieux, président de l'Unedic pendant deux ans au nom du Medef, et Pierre Gattaz, les deux favoris, veulent ainsi limiter à 2000 euros le montant des allocations mensuelles et à un an la période totale d'indemnisation. Un casus belli pour les syndicats… Leur objectif est aussi de corriger deux annexes structurellement dans le rouge: celle des intermittents et techniciens du spectacle (1 milliard de déficit chaque année) et celle, moins connue, des transfrontaliers (1,5 milliard). Là encore, des chiffons rouges pour les syndicats de salariés (à l'exception de la CFDT), mais aussi pour le gouvernement, qui a plusieurs fois affirmé son attachement à ces coûteuses annexes…


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Doc en ligne

 

convention tripartite

La convention tripartite Etat-UNEDIC-Pôle emploi

 

Cour-des-comptes.jpg

Rapport sur la sous-traitance    

 

 

 

 

Iborra.jpg

Le rapport Iborra sur le SPE (texte intégral)

 

PE-copie-2

 LE BUDGET 2013 DE POLE EMPLOI

 

 

 

 

 

  UNEDIC.jpg

Utile et pratique 

 

CHARPY.jpg

 

    texte intégral (gratuit)

 

 

Ce livre est dédié aux agents de Pôle emploi et à ceux qu’ils accompagnent chaque jour.

  (Christian Charpy)

 

 

CCN.jpg

La Convention Collective Nationale

 

 

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Histoire de l'Assurance Chômage (VIDEO INA)


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